Stéphane Hubert, une biographieNé en 1979 d’un père et d’une mère, Stéphane écrit sa première chanson quelques secondes après sa naissance. Une chanson sobrement intitulée « Wouinwouin » qu’il chantera de longues heures durant. Son enfance est alors bercée autant par les bras de ses parents que par la musique des Beatles et de Led Zeppelin. Les années passent, et sa culture musicale s’agrandit alors bien plus rapidement que sa taille. Il découvre Yes, les Who, les Kinks, Uriah Heep, David Bowie, et parce qu’il faut alors bien écouter quelque chose de contemporain, Oasis, Blur et Pearl Jam.Il profite alors de la présence dans un coin du salon familiale d’une guitare pour s’en saisir et commencer à s’amuser avec. Derrière, c’est le drame, il se met à écrire des chansons, puis, dans un élan d’inconscience, chante.La scène lui fait alors autant envie que peur, jusqu’à ce que la peur ait peur d’elle-même et disparaisse pour ne laisser place qu’à l’envie. Une première fête de la musique, puis l’escalade continue. Stéphane enchaîne les concerts et, excusez l’expression, « s’éclate sur scène comme un petit fou ». Les personnes présentes à ses concerts louent son sourire, sa bonne humeur, son humour, et la qualité de ses chapeaux. Certains vont même jusqu’à apprécier la qualité de ses compositions et de son interprétation. Aujourd’hui il n’a qu’un souhait, continuer et se faire connaître par le plus grand monde.Il espère également trouver les fonds pour soigner la schizophrénie qui le fait écrire lui-même cette biographie à la troisième personne du singulier, même s’il juge son talent pluriel.Stéphane Hubert, c’est un type un peu bizarre qui chante. Pléonasme ?